Les diplômés du parcours Propriété Intellectuelle travaillent dans des organismes de recherche, dans des cabinets d’avocats et des cabinets de conseils en propriété industrielle, dans des entreprises innovantes, ainsi que dans des secteurs très variés : tels que l’industrie du luxe (Chanel, L’Oreal, Hermès…), de l’édition, de la production (Studio Canal, Bam prod…), des jeux vidéo, des télécoms et solutions informatiques, dont les logiciels (SB Group, Infomil….), du « social media » (Jellysmack, Bizness), mais encore dans le secteur de l’industrie pharmaceutique (Pierre Fabre, Biogaran, Sanofi, Innate Pharma…), de la cosmétique (L’Occitane, Graine de Pastel, Yves Rocher…), de l’alimentation (Nutrition et santé, Lactalis, Adisseo, Danone …), du commerce électronique (Vente Privée, Vestiaire collective, Eram,…). Leur insertion concerne également les entreprises de recherche en biotechnologies (TOTAL, PSA, Michelin, Vinci Energies, Alstom, Liebherr, AREVA, IBM, Microsoft,…) ou encore les services de valorisation des organismes de recherche publique et d’universités (Institut Curie, CHU, CNRS, CNES, INA, IPS…), ainsi que les entreprises implantées dans le bassin toulousain (AIRBUS, Latecoere, SAFRAN, Thales, Sogeclair aerospace, Alpha Mos…).
Les étudiants se tournent vers les professions de juriste d’entreprise, d’avocat, de collaborateur dans les services de valorisation de la recherche, de conseil en propriété industrielle, d’examinateur à l’INPI et à l’OMPI.
Parmi les diplômés, les emplois exercés en France et à l’étranger ressortent de différents secteurs : qu’il s’agisse de l’industrie du cinéma, de l’édition, d’entreprises de création de logiciels, de l’aéronautique, du luxe, des médicaments, de la cosmétologie, de cabinets d’avocats (gestion de portefeuille de marques), d’assistants à l’INPI, de valorisation de la recherche, ou encore de laboratoires.
Certains étudiants ont poursuivi leurs études et obtenu le diplôme du CEIPI.
D’autres sont en thèse et ont vocation à travailler dans le milieu universitaire ou celui de la recherche.
La double compétence acquise par les étudiants de formation scientifique leur permet notamment de répondre aux besoins des secteurs de la veille technologique, de la valorisation de la recherche et des cabinets de conseil en propriété industrielle.
En savoir plus :
L'OFIP (Observatoire des Formations et de l'Insertion Professionnelle) étudie la situation des anciens étudiants 30 mois après la diplomation, poursuite d'études, processus d'entrée sur le marché du travail, caractéristiques des emplois (secteurs, statuts, fonctions, professions, revenus, mobilité géographique....).
Retrouvez toutes les études de l'
OFIP sur les parcours d'études et l'insertion professionnelle des étudiants
ICI.