Cette mobilité ne pouvait que renforcer son inclination pour le droit comparé. Très tôt, elle s’est intéressée à des thèmes qui, à l’époque, étaient marginaux, voire tabous : le transsexualisme, l’identité de la personne, les familles nourricières, le droit des animaux. Sa curiosité, sa volonté de fréquenter des terrains inexplorés l’ont conduite à rechercher quelle place le droit pouvait occuper dans les secteurs ouverts aux sentiments : l’affection ou bien encore la cohabitation non sexuelle.
Droit comparé et pluridisciplinarité se conjuguent élégamment pour offrir une œuvre empreinte d’humanité.
Dans cet ouvrage, collègues, amis, jeunes docteurs suivent la voie tracée par la dédicataire en mettant la personne et la famille au cœur des préoccupations avec discrétion, sensibilité et originalité.