Les Gardiens de la Paix (GDP) participent aux missions des services actifs de la Police Nationale et encadrent les Policiers Adjoints. Ces policiers exercent leurs fonctions en uniforme ou en tenue civile et travaillent à la fois en commissariat et sur le terrain. Ils dépendent de la Direction Générale de la Police Nationale au sein du ministère de l’Intérieur.
Le Policier Adjoint (PA) exerce ses fonctions dans le cadre d'un contrat d'une durée de 3 ans, renouvelable une fois. Il assiste au quotidien les Gardiens de la Paix dans leurs missions de prévention et de répression de la délinquance, de surveillance générale, d’accueil, d'assistance et de soutien aux personnes.
METIERS de la GENDARMERIE NATIONALE
La Gendarmerie Nationale est une institution militaire rattachée au ministère de l'Intérieur. Le Sous-Officier de Gendarmerie (SOG) est donc à la fois un militaire de carrière et un fonctionnaire d'Etat de catégorie B. Les gendarmes dépendent par conséquent de la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale mais également du ministère de l’Intérieur.
Le Gendarme-Adjoint Volontaire (GAV) seconde les Sous-Officiers de Gendarmerie dans leurs missions. Sous contrat d’une durée maximale de 6 ans, il peut acquérir une première expérience professionnelle en vue d’une incorporation définitive via le concours interne qu’il peut passer après une année de contrat.
METIER de SURVEILLANT PENITENTIAIRE
En tant que surveillant pénitentiaire, vous êtes l’acteur principal de la détention. Vous serez l'interlocuteur privilégié des personnes détenues et les accompagnerez au quotidien. Vous serez garant de la sécurité et œuvrerez à transformer et à protéger des vies. Vous serez un acteur de la réinsertion des personnes détenues, en collaboration avec les personnels pénitentiaires d’insertion et de probation.
La dimension sécuritaire se reflète dans les tâches quotidiennes du surveillant : maintenir le calme en détention, accompagner les mouvements, assurer leur fluidité, inspecter les cellules, réaliser des fouilles…
La contribution à la réinsertion s’incarne aussi dans des actes quotidiens : dialoguer avec la personne détenue, lui apprendre ou lui réapprendre les règles du vivre ensemble, l’accompagner dans les activités (travail, cours…), l’orienter dans la gestion de ses requêtes et contribuer à sa socialisation durant sa peine.