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Le mot du Doyen Nelidoff - février 2019

Le mot du Doyen (février 2019)

Parmi les dossiers importants de cette année universitaire, la réforme de la Licence en droit continue à nous mobiliser.

Le conseil de Faculté, dans sa séance du 22 janvier, a adopté l’architecture générale de la Licence, par souci de cohérence. La mise en œuvre sera progressive, en commençant par la L1 à la rentrée de septembre 2019. Les deux premières années resteront très générales, de manière à découvrir à la fois la méthodologie du travail universitaire et les fondamentaux du droit. La troisième année sera plus articulée sur les Masters, avec cinq orientations : droit civil et carrières judiciaires, droit public et concours administratifs, droit international et droit européen, droit social, droit des affaires. Nous favorisons également une plus grande ouverture à la culture générale, à l’utilisation du numérique et aux enseignements juridiques en anglais, ce qui correspond à l’esprit de la réforme issue de l’arrêté du 30 juillet 2018.

Dans sa séance du 19 février, le conseil de Faculté a ensuite travaillé sur les modalités de contrôle des connaissances : la question des bonifications, des règles de compensation et l’organisation de la seconde chance qui correspond à la session de rattrapage. Ce sont des questions qui apparaissent très techniques (et qui le sont) mais qui sont également sensibles, comme l’ont montré les débats très constructifs qui ont eu lieu lors de ces conseils.

Nous finaliserons, dans la séance du 19 mars, l’organisation de la première année avec l’adoption des arrêtés d’examen, pour une mise en œuvre effective à la rentrée prochaine.

La réforme de la licence ne sera pas pour autant terminée car il faudra travailler encore sur les deuxième et troisième années de Licence. Des permutations ou des ajustements de matières, à la demande des sections pourront être opérés. Il faudra aussi tenir compte des résultats de la procédure d’auto-évaluation qui vient d’être lancée en ce début d’année et qui nous mènera à la future accréditation de nos formations juridiques. Il faudra également anticiper le glissement de la sélection à l’entrée des Masters 1 et continuer à travailler sur la rationalisation de notre offre dans le cycle Master.
Tout cela va nous demander beaucoup de travail, d’énergie et de détermination. Nous devons garder le cap d’un bon équilibre entre les moyens déployés en Licence et en Masters, sans oublier la formation doctorale.

Je remercie tous ceux et toutes celles qui ont accepté et qui accepteront de nous aider pour mener à bien tous ces dossiers. Ils sont vitaux pour l’adaptation de nos études à la bonne formation des juristes d’aujourd’hui et de demain.

Philippe Nélidoff
Doyen de la Faculté de droit et science politique


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